Le Guiers, mort ou vif ?
Le cours du Guiers s’élargit alors et sa pente s’adoucit, mais ce n’est que provisoire puisqu’il se précipite à nouveau dans les gorges de Chailles qui délimitent la fin du haut plateau du Guiers. Ses eaux pures et limpides, issues des massifs calcaires, font du Guiers un milieu idéal pour le développement d’une biodiversité exceptionnelle et d’une vie aquatique particulièrement riche le long des quelques 50 km de son parcours en Chartreuse.